
Dans ICIRORI, Consolate nous emporte dans ses souvenirs d’enfance, enfouis au fond d’elle jusqu’à ses trente ans. Elle les redécouvre aujourd’hui à travers le processus de réappropriation de son identité, qui prend la forme d’une création en plusieurs volets, autour des sens et de la mémoire, de l’amnésie traumatique mais surtout du processus de guérison qu’elle entreprend, et qu’elle souhaite partager.