Ce projet nait de l’envie de s’interroger sur des techniques de corps qui s’apprennent sans métier, sans formation mais à l’intérieur de pratiques illégales qui, par leur hors-cadre, ne sont pas valorisées.
J’ai pensé à des actes anarchistes.
J’ai entendu des témoignages de femmes braqueuses qui s’étonnaient qu’à force de répétition, elles devenaient « expertes » en la matière.
La voix intérieure qui les précipite vers la décision de franchir les limites posées par les lois n’est pas celle d’une vocation mais plutôt celle de la dernière voie : celle de la survie, celle de la réparation d’une injustice économique.
Ces histoires, rarement médiatisées, s’intègrent à l’histoire des révoltes dites « primitives » ou pré- prolétariennes : celle des bandits sociaux. Qu’est-ce que ces rebellions ont-elles à nous apprendre de l’ordre social ? Quelles nouvelles formes de justice proposent-elles ?
Conception - Marion Sage
Interprétation (trio en cours de distribution) -
Dalila Kaïdi, , Marion Sage Création sonore - Anne Lepère
Création lumière - Estelle Gautier
Regards sur le mouvement - Anja Röttgerkamp Accompagnement vocal
Administration - Entropie production Bruxelles
Coproduction (en construction)
La Bellone, Bruxelles - Charleroi Danse, centre chorégraphique de Wallonie-Bruxelles.
Partenaires et résidences
La Bellone, Bruxelles
Le Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles Centre Chorégraphique National de Roubaix L’Université de Lille
Honolulu, Nantes